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J345 /// Dessin spontanné /// Catfish

Spontané. Ce mot revient de plus en plus souvent dans ma tête. Et si cela se passe comme çà, c'est peut-être parce qu'il m'obsède, à un certain point. Et s'il m'obsède, c'est que, pour l'instant du moins, je ne peux pas l'atteindre. Cette spontanéité. On dessine de manière spontanée (d'après le site dessinspontane.be) jusque 7 ou 8 ans, mais les signes d’extinction apparaissent vers 5 ans. Au fait, c'est quoi, le dessin spontané ? C'est le genre de dessin que l'on peut faire en téléphonant, et pour lequel il n'y a pas besoin d'être artiste ou quoi, pour le faire (même si n'importe qui peut dessiner, hein...). À différencier cela dit de la spontanéité dans le dessin, pouvant, elle, résulter d'une certaine habileté, confiance en soi et habitude mêlée d'expérience du dessin. Et c'est vrai qu'avant d'écrire ces mots, et de regarder vraiment ce que l'on appelle dessin spontané, je voulais surtout parler de spontanéité dans le dessin, ou d'un mélange des deux en fait. Non parce que, ce que j'ai vu en dessin spontané, c'est bof bof quand même. Enfin ça dépend et ça parlera peut-être plus à d'autres, mais je ne trouve pas ça génial. Et de toute façon ce n'est absolument pas le but d'un autre coté, puisque les objectifs du dessin spontané, toujours d'après le même website, sont assez proches de l'arthérapie: bien-être, introspection, innovation, dé-stress, personnalisation, acquisition de nouveaux outils graphiques, pannes créatives... Ça en fait un paquet de bénéfices Et c'est vrai que je me disais de temps en temps que je ne gribouille pas assez, je ne tente pas assez, je ne fais pas assez d'essais. En général, je dessine pour le projet Sasabudi en ce moment, et c'est presque une routine: texte, croquis, encrage. Même si je fais des recherches pour les croquis et que le texte lu

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