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J351 /// La légèreté onirique

-Suite de J350- Et d'ailleurs -pour préciser, non parce que j'en vois qui n'ont pas tout compris, moi le premier-, eh bien je dirais que c'est l'artiste lui-même qui songe à s'extirper du monde réel, comme le dit si bien Blutch ou tant d'autres, à travers son art. Et c'est là que peut-être la fin du sasabudi pourra apporter autre chose, de plus spontané que de laisser s'exprimer mon putain de cerveau gauche analytique sur les textes, et retranscrire cela en dessin. Aussi bien on peut arriver à des œuvres assez puissantes en terme de symbolisme et de réflexion, aussi bien elles peuvent avoir du mal à faire décoller le spectateur, à le faire rentrer dans l'image en abandonnant la matérialité d'un monde plein de soucis... Let's go marco Ah ben merde, j'ai pas encore tout dit ce que je voulais, me perdant dans des explications non prévues. En fait, je voulais avant tout parler des ingrédients à l'origine d'une bonne recette d'image onirique d'échappement (de la réalitude). Bien sûr, encore une fois, cela dépendra de vous, enfin, de nous, mais retourner dans l'enfance nécessite quand même des... enfants. Et mine de rien, il y a un paquet de manga pour adultes qui font intervenir des enfants, ou -au pire- des adolescents, de même que certains films que je qualifie souvent de "frais", en appelle à nos images d'enfance jaunies par le temps (Amélie Poulain etc). Enfin bref, je ne vais pas en écrire trois tonnes non plus, mais personnellement , ce qui me fais triper: voler, des animaux genre gros doudou, de l'espace (car voler dans un environnement clos est casse-gueule), des couleurs, mais pas trop (parce que c'est vomitif), des trucs impossibles, (pour bien comprendre qu'on est dans un rêve)...

légende : un bébé cyclope se balade sur la tête d'un monstre poilu

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