Zarma, ça fait du bien de plus entendre parler de mise en page... ou presque... Enfin bref, dans ce genre de situation, je préfère encore fermer ma gueule ou aller gratter avec ma langue à 7 endroits différents de mon crâne et titiller les quelques neurones encore disponibles et fonctionnels qu'il me reste... Très important ça. Le titillement. Comme une sorte de massage réflexologique, les vibrations du titillenent sont apaisantes et chaleureuses, diminuant le degré d'excitation des dits-neurones. Ils se mettent alors en confiance et libèrent dans un jet éjaculatoire des substances du bonheur. Et du pur bonheur. La meilleure came que vous n'ayez jamais gouté. Yep, le titillement man. Le plus difficile dans l'histoire est de redistribuer ce bonheur, même si un sourtte suffit parfois, ou quelques bonnes blagues autodérisionnelles; non parce que j'aime pas me foutre de la gueule des gens. Certains pensent qu'il y aurait de quoi faire pourtant, mais après quelques secondes de titillement, on finit toujours par se mettre à leur place et se dire que -par exemple- les psychoses sexuelles de leur parents les ont pas arrangé... ou c'est juste qu'ils n'ont pas accès au titillement. A la relaxation d'une âme tourmentée qui ne ferait jamais la sieste. Le pire serait sans doute qu'ils reprochent à leurs proches des trucs miroitants leur propre détresse stressante, car c'est alors qu'il faut affronter le monstre, celui dont la prolificité n'est pas félicité, invaincu par 3 758 666 KO... j'ai nommé: le Pardon ! Et je vous parle même pas de sa mère matriarchale, encore plus énorme, se faisant appeler la sanguinolante, l'improbable, Pardonamoua !! Certains guerriers chevaleresques ont pu l'approcher avant que son haleine fétide ne les décompose, mais aucun n'en est jamais revenu... Autant dire que c'est un putain de stremon de fin de niveau... snif... vous sentez pas un truc bizarre ?
